Expo Julie Birmant « Les Herbes Folles »


Jusqu’au 15 mars, le Musée du Papier d’Angoulême accueille une exposition consacrée au travail de la scénariste Julie Birmant, lauréate du prix Goscinny 2024. Dans cette exposition intitulée  « Les Herbes Folles », le visiteur commence par la fin : il peut admirer des planches originales de Clément Oubrerie pour la biographie que le duo consacre actuellement à Dali et à sa muse Gala (deux tomes parus sur ce qui sera une trilogie) puis déambuler dans l’univers en trois volumes de « Renée Stone » personnage fictif mélange d’Indiana Jones et d’Agatha Christie, découvrir des planches et des essais pour le diptyque consacré à la danseuse Isadora Duncan et enfin celles issues des albums de la tétralogie « Pablo » et terminer le parcours avec la première bande dessinée que Julie Birmant écrivit avec Catherine Meurisse cette fois  : « Drôles de femmes » , une anthologie de portraits de femmes fortes et drôles ( Yolande Moreau, Anémone, Sylvie Joly, Claire Bretécher, Amélie Nothomb…).

Cette passionnante plongée dans les coulisses de l’écriture a lieu dans un décor organique et des écrins surréalistes crées par l’atelier Maciej Fiszer. Elle est accompagnée d’archives sonores dans lesquels on entend la voix de Dali, des commentaires de Julie Birmant sur son œuvre mais on y trouve aussi un film documentaire sur le travail de la coloriste Sandra Desmazières qui travaille avec le couple d’artistes Birmant-Oubrerie depuis « Pablo ».

L’une des deux commissaires des « Herbes folles », Cathia Engelbach a accepté de répondre à nos questions.

Cathia Englebach se trouve au centre de la photo ; à droite Julie Birmant et à gauche Marguerite Demoëte lors de la visite guidée professionnelle du 29 janvier 2025

Pourquoi avoir choisi de présenter l’exposition consacrée au prix Goscinny 2024 au Musée du Papier alors que traditionnellement celles consacrées aux scénaristes lauréats étaient accueillies à l’étage du vaisseau Moebius ?

Ce changement de lieu répond à une volonté de Marguerite Demoëte, co-directrice artistique du Festival. Cela fait d’autant plus sens dans le cas du travail de Julie Birmant, très fortement lié à l’histoire de l’art en général, et aux beaux-arts en particulier. Je pense que Marguerite Demoëte souhaitait vraiment lui confier un musée pour écrin. Au tout début de nos échanges avec Julie Birmant, elle nous a dit qu’elle considérait le scénario d’une bande dessinée comme du « papier à cigarette » : léger et fin, attendant d’être révélé par la mise en images des mots. Ce qui est drôle, c’est que le musée du Papier d’Angoulême est situé à l’emplacement d’une ancienne papeterie (Joseph Bardou et fils Le Nil) qui était… une usine de papier à cigarette ! Au-delà de l’anecdote, le papier est pour tout scénariste le premier « confident », là où tout commence.

Et pourquoi avez-vous choisi également de la délocaliser en l’exposant simultanément sur le parvis de la gare de Lyon ?

Le Festival d’Angoulême a un partenariat de longue date avec la SNCF Gares & Connexions. Des « parcours BD » sont ainsi proposés dans plusieurs gares de France (Aix-en-Provence, Nice, les grandes gares parisiennes, Agen, Bordeaux, etc.), ce qui permet aux œuvres de voyager. Sur le parvis de la gare de Lyon à Paris, les reproductions proposées dépassent le cadre de l’exposition, présentant une grande sélection de pages et de cases tirées de différents albums. À Angoulême, nous avons fait le choix d’exposer uniquement des oeuvres originales de Clément Oubrerie et de Catherine Meurisse ; les reproductions en très grand format ont été pensées comme des habillages, des ornements.

C’est une exposition consacrée à une scénariste et pourtant elle n’est pas exhaustive : « Les Aventuriers du cubisme » (seul ouvrage de Julie à ne pas avoir été publié aux éditions Dargaud mais chez Steinkis) n’y a pas sa place et le prochain projet sur Matisse avec le dessinateur Jörg Mailliet n’y figure pas non plus. Pourquoi ce parti pris ?

En effet, l’exposition ne fait pas mention de certains titres, comme Les Aventuriers du cubisme (Steinkis) et Pablo. Le Paris de Picasso 1900-1908 (Dargaud), et la prochaine collaboration de Julie Birmant avec Jörg Mailliet autour de Matisse est simplement évoquée dans l’un des extraits sonores, par l’autrice elle-même. C’est un choix de Julie, que nous avons respecté, et d’autant mieux compris que nous nous sommes retrouvées face à des dizaines de boîtes d’archives des travaux de Clément Oubrerie ! Certains avaient déjà été exposés, à Paris notamment, de la série Pablo. Mais pour une grande partie, ce fut une découverte totale (et une redécouverte pour Julie, de son aveu) devant les originaux de Renée Stone, du deuxième tome de Dali ou encore les aquarelles d’Il était une fois dans l’Est… Nous souhaitions aussi donner de la place au travail de Sandra Desmazières, qui suit Clément et Julie depuis le premier volet de Pablo en assurant la mise en couleurs. Travailler la couleur sur des albums dont l’un des points centraux est précisément l’art et la peinture – et donc une palette déjà bien orientée – est un enjeu de taille. Sandra explique son processus depuis la réception des fichiers de Clément, qui contiennent ou non des aiguillages, puis son travail de la matière, des ombres et des lumières. Il était important pour nous que les visiteurs puissent se rendre compte de chaque étape.

Que signifie le titre choisi : « Les herbes folles » ?

Julie Birmant rêvait de donner à son premier livre ce titre, « Herbes folles ». Elle nous a immédiatement suggéré d’en faire le titre de son exposition – qui s’ouvre quinze ans après la parution de sa première bande dessinée (finalement intitulée Drôles de femmes). Julie aime cette métaphore de l’herbe folle qui renvoie à toutes ces femmes éprises de liberté qu’elle met en scène. Les herbes folles, ce sont ces herbes indomptables, contre lesquelles la main humaine ne peut pas faire grand-chose. La particularité de ces herbes sauvages, c’est qu’une fois implantées sur un territoire, ces herbes a priori « mauvaises » deviennent indispensables, font partie intégrante du biotope. Les femmes de Julie Birmant ont été primordiales dans le binôme qu’elles ont formé, à un instant de leur vie ou durant toute leur vie (qu’il s’agisse de Gala avec Dáli, de Fernande avec Picasso ou encore d’Isadora Duncan avec Sergueï Essénine), et pourtant, l’histoire n’a retenu que les créateurs. Julie replace les choses sous l’angle du duo en création, s’intéresse à leur rencontre, à leurs échanges, à leurs jeux de regards. C’est d’autant plus important que c’est le reflet exact de ce qui se passe dans sa vie personnelle, elle qui forme, avec Clément Oubrerie, un duo en art depuis tant d’années.

Comment avez-vous travaillé avec Julie Birmant ?

Les expositions concernant les lauréat.e.s du prix Goscinny, tout comme celle du Grand Prix, sont connues bien en amont, donc le temps de préparation est plus confortable que sur d’autres expositions. Avec Marguerite Demoëte, nous sommes rendues à plusieurs reprises chez Julie. Plusieurs choses se sont déjà dégagées de ces entretiens plus ou moins formels : en nous ouvrant ses portes, c’est son lieu de travail qu’elle nous a montré, ses bibliothèques, les planches encadrées de Clément Oubrerie. Nous avons aussi pu constater sa véritable passion pour les plantes d’intérieur et d’extérieur. C’est en l’écoutant raconter son émerveillement (elle dit cela en des termes très physiques) devant la mise en dessin de ses écrits que nous avons pensé orienter l’exposition autour de sa voix. Au-delà de nos rendez-vous, toutes les étapes de la préparation de l’exposition à proprement parler se sont faites sans son regard – autant pour la scénographie que pour le parcours.

C’est ainsi que même si elle avait parfaitement connaissance des planches qui allaient être montrées, Julie Birmant a découvert l’exposition au musée du Papier en même temps que les premiers visiteurs du Festival. Pour la petite histoire, Julie avait simplement demandé s’il était possible de végétaliser l’entrée de l’exposition. Avec l’aide d’une fleuriste de Saint Cybard (un quartier d’Angoulême), ont été installées au niveau des garde-fous de longues branches d’eucalyptus courant jusqu’à l’affiche de l’exposition. Julie a confié durant la première visite que l’eucalyptus habillait justement la cabane de son enfance…

Pourquoi avoir choisi un parcours à rebours de la chronologie de parution des œuvres?

Julie Birmant a obtenu le prix Goscinny 2024 pour le premier tome de Dáli, il nous a semblé important d’entrer dans l’exposition à travers Gala et sa relation avec Dáli. Durant tout le premier tome, Julie crée une attente. L’album repose entièrement sur ce territoire de l’attente – Gala est mentionnée à la première page (lors d’une conversation entre Pablo Picasso et Paul Éluard) et elle n’apparaît qu’à la toute dernière (sur une page la montrant dans un traîneau, glisser sur la neige, ce qui correspond en fait à un rêve de Dáli). D’une certaine façon, l’exposition prend à contre-pied cet effet de suspension présent dans la narration. Gala prend tout de suite la lumière.

C’est elle qui guide le visiteur vers toutes les « drôles de femmes » qu’il pourra voir – ou rencontrer – dans la seconde salle : Fernande Olivier, Isadora Duncan, Renée Stone, personnages-titres, mais aussi Sylvie Joly, Michèle Bernier, Amélie Nothomb ou encore Yolande Moreau. À part pour Drôles de femmes (qui est effectivement son tout premier album, dessiné par Catherine Meurisse), Julie a un tropisme pour le début du XXe siècle, des années 1900 à 1930, et beaucoup d’histoires cohabitent dans son esprit en réalité ! Nous avons surtout essayé de faire se succéder les visages, plutôt que respecter la chronologie des œuvres ou des histoires.

Quel est le fil rouge de cette exposition ?

Le fil conducteur est la voix de Julie Birmant, dissimulée derrière les décors en quelques points précis de l’exposition. À l’écrit, sa prose a la particularité d’être directe et sans ambages. On croirait même, étrangement, l’entendre. Au fil de nos rencontres, c’est la voix de Julie qui est ressortie, à l’image de sa narration, sans détour. Nous avons donc souhaité mettre en scène, auprès de toutes ces bandes dessinées, la voix de la scénariste. Comme dessiner, dire est une sortie de soi. Julie a exercé sa voix à la radio, à l’écoute aussi d’autres voix féminines, des femmes drôles, des herbes folles. La sortie de soi est aussi une adresse à l’autre. Or, ce qui prime, dans toute l’œuvre de Julie Birmant, ce sont les rencontres. Pablo, Isadora, Dalí… tous ces albums déclinent des histoires de rencontres. Et ce qui est intéressant, c’est qu’en fouillant du côté de l’étymologie du mot « rencontre », on se rend compte que rencontre, c’est « se mettre contre », c’est-à-dire autant être à côté que s’opposer à l’autre. Et de fait, les histoires de rencontres sont très souvent des histoires de querelles, de rapports de force, de jeux de regards et d’affrontements.

Pourrait-on dire que cette exposition rejoue toutes les histoires de Julie puisque paradoxalement la scénariste s’efface derrière le dessinateur et qu’on a l’impression que c’est surtout un tribut à l’œuvre dessinée de Clément Oubrerie ?

Je ne suis pas certaine que Julie envisage les choses de cette façon dans son œuvre. Ce qui l’intéresse, c’est de mettre en avant une histoire commune, de couple, de couple en art le plus souvent. Sans doute s’il s’était agi de mettre toute la lumière sur la femme, elle aurait choisi d’intituler ses albums Fernande ou Gala. D’un point de vue très personnel, je ne pense pas qu’elle s’efface derrière le dessinateur (mais l’efface-t-on ? serait peut-être une question à se poser), puisqu’elle voit le dessin comme un prolongement de sa plume. En ceci, être scénariste, c’est être passeur, générateur d’images. Julie réveille sur ses pages ce que Clément et Catherine vont révéler sur leurs planches.

Concernant la place des femmes d’artiste / femmes artistes, Gala était, par nature, taiseuse ; elle s’est toujours tenue « à côté » de Dáli, et lui-même se disait génial car il avait Gala auprès de lui. Elle n’a jamais été derrière. Plusieurs dizaines d’années après sa mort, on a retrouvé un journal qu’elle tenait dans un français fragile, mais clair, dans lequel sa sensibilité rayonne. Gala a été tant de fois écrite par Paul Éluard (le poète a été son premier mari), tant de fois peinte par Dáli, tant de fois célébrée ! Sur la fin, certaines toiles du surréaliste portaient même pour signature « Gala Salvador Dáli », dans une fusion totale. L’histoire est un peu différente pour Fernande Olivier, la « belle Fernande » que Julie met en scène oubliée et en fin de vie, survolant Montmartre comme elle survole son existence. C’est en grande partie Picasso lui-même qui a contribué à cet effacement de Fernande. Leur idylle a duré environ cinq ans, et Julie fixe cette durée, dans les quatre tomes de Pablo, comme cadre d’unions et de désunions (elle multiplie les portraits de duos, trios ou groupes d’artistes, poètes, peintres, galeristes, collectionneurs, etc.). De Picasso, Fernande a connu la fin de la période bleue, le déploiement de la période rose et son entrée dans le primitivisme (période dite africaine), voie vers le cubisme. Elle assiste aussi, comme de nombreuses planches en attestent, au long accouchement des Demoiselles d’Avignon. Picasso n’a pas été tendre, ni avec elle, ni avec bien d’autres, mais le propos de Julie est de s’intéresser à ce qu’ils ont partagé, pour l’art.

Pourquoi autant de place accordée aux sons ?

La voix de Julie Birmant dit tant de choses de son écriture ! En fait, Julie accorde relativement peu d’importance à ses pages préparatoires de scénario, qu’elle donne à Clément avant de les jeter. Faire entendre sa voix nous a permis de faire comprendre le travail de sa plume. Dans la salle de cinéma recréée au cœur de l’exposition, le visiteur peut aussi entendre l’accent chantant de Salvador Dáli évoquant son amour pour Gala – une voix entêtante absolument indissociable de sa personnalité !

Est-ce que l’interview de Sandra Desmazières, la coloriste de « Pablo » et « Dali » placée au centre de l’expo est le miroir du but de Julie Birmant dans ses biographies d’artistes : redonner leur place aux femmes invisibilisées ?

Nous n’avons pas pensé les choses en ces termes, mais le travail de la coloriste Sandra Desmazières nous a semblé avoir toute sa place dans le parcours de l’exposition car, comme souvent, l’idée et la fabrication d’un album repose sur un jeu d’alliance : ici, l’alliance et quadripartite, avec Julie au scénario, Clément au dessin, Clotilde Palluat au suivi éditorial et Sandra à la mise en couleur. Clément travaille le plus souvent en noir et blanc, au crayon ou au bic – à l’exception notoire de l’aquarelle d’Il était une fois dans l’Est, mais aussi pour quelques planches de Dáli (il a fait des essais couleurs d’une page, correspondant au dépucelage de Dáli par Gala ; il a aussi rehaussé quelques planches, comme une séquence où Dáli encore étudiant se rend au Prado pour copier Les Ménines de Velázquez). Le travail de Sandra sur Pablo et Dáli est primordial, et nous étions ravies qu’elle accepte de le présenter.

Dans cette exposition une grande place est accordée à la trilogie « Renée Stone » qui est un peu différente du reste de l’œuvre du duo : elle ne parle pas d’un(e) artiste réel(le) et n’a pas eu le même succès. C’est une sorte de réhabilitation ?

Lorsque Julie et Clément ont placé devant nous les originaux des albums consacrés aux Aventures de Renée Stone, nous ne nous attendions pas à devoir plonger dans de si grands formats et des dessins comportant tant de traits, de détails autant dans les expressions de visage que dans les éléments de décors, de paysages. Avec Renée, Julie Birmant part loin : elle voyage avec son héroïne jusqu’en Abyssinie (l’actuelle Éthiopie) ; elle voyage dans le temps jusqu’en 1930 ; elle voyage dans les genres et aborde en effet, pour la première fois, la pure fiction. Renée Stone est une romancière à succès, anglaise. En route pour assister au sacre d’Haïlé Sélassié à Addis Abeba, elle est accompagnée par un certain John Malowan, un archéologue un peu gauche mais finalement attachant, et brillant. Le « couple » n’est pas sans rappeler celui réellement formé par Agatha Christie et Max Mallowan, son second mari ; jusqu’aux boucles sur chevelure courte pour elle et moustaches fines pour lui.

Quant au visage et au regard de Renée, ils sont calqués sur l’une des modèles du photographe Jacques Henri Lartigue, Renée Perle, à qui elle doit également son prénom. De l’Éthiopie à l’Irak, Julie Birmant fait vivre à Renée Stone des aventures dignes d’une James Bond ou d’une Indiana Jones au féminin. Il est question de trésors, de meurtres, d’arrestation, de courses-poursuites, de journaliste véreux, d’exploration, d’exploitation… tout ceci dans l’insouciance d’un monde qui ne connaissait pas encore le pétrole. Chaque personnage a la particularité de puiser ses traits dans le réel, deux des principaux faisant par exemple explicitement référence à l’ingénieur Henry de Monfreid (Henry de Frick dans les albums) et à l’explorateur Wilfred Thesiger (Alfred Theziger dans les albums), que Julie a lu et relu. Si « réhabilitation » il y a, elle n’est pas volontaire, mais ce serait la plus belle des nouvelles pour cette trilogie !

Vous avez travaillé avec l’atelier Maciej Fiszer qui réalise des compositions en bois étonnantes. Est-ce qu’ils ont suivi un cahier des charges ou bien leur avez-vous laissé carte blanche ?

La scénographie conçue par l’atelier Maciej Fiszer (une équipe composée de Maciej lui-même, Marion Forissier et Clara Viganego, à laquelle s’ajoute le graphiste Nicolas Turki) joue sur les épures et les formes organiques. Toutes ces courbes (de corps, de décors, d’inflexions de voix) sont directement inspirées des motifs surréalistes, de même que les couleurs de peinture des espaces. De loin, c’est une ondulation ; de près, il y a quelques rapprochements fantasques, des déformations… Tout concourt à faire ressortir une part d’onirisme. Les panneaux disposés sur le parcours ont été pensés dès le tout début du processus. Les scénographes les ont dessinés, mais c’est Victor Deruet et l’entreprise Cobble qui se sont occupés de la découpe de façon complètement instinctive. Ce sont tous d’anciens étudiants de l’EESI (école européenne supérieure de l’image) qui jouxte le musée du Papier : de vrais artistes pour une exposition d’artistes !

Merci beaucoup Cathia pour le temps que vous nous avez consacré ! L’an prochain c’est Serge Lehman, lauréat 2025, qui aura le droit à sa rétrospective …

Entrée libre. Ouvert de 14h à 18h en semaine et de 13h45 à 17h30 le week-end. Fermé le lundi.


COMMISSARIAT : Cathia Engelbach & Marguerite Demoëte
SCÉNOGRAPHIE : Atelier Maciej Fiszer
PRODUCTION : 9eArt+ / FIBD

Même si Sandra Desmazières assure la majorité de la colorisation parfois le dessinateur s’essaie à des lavis ou à des planches aquarellées ( la première photo est issue de l’album Isadora, les autres des tomes de Dali)

Texte, photos et interview d’Anne-Laure SEVENO

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